Denis JACOB, Secrétaire Général, était sur le plateau de CNEWS ce lundi 3 décembre
PARIS, 3 décembre (Reuters) - Les syndicats représentatifs de la police nationale ont demandé lundi un rendez-vous au chef de l'Etat, Emmanuel Macron, après les émeutes de samedi à Paris et dans le reste de la France en marge du mouvement des "Gilets
jaunes".
Les quatre confédérations (FO, Unsa, CFDT, CFE-CGC) et leurs fédérations, telles Alliance, Unsa Police ou Alternative Police, veulent notamment discuter de la gestion du maintien de l'ordre.
"Suite aux débordements et aux violences commises sur
l'ensemble de la France et nos collègues étant particulièrement mis à contribution, nous demandons à être reçus par le président de la République avec l'ensemble des syndicats de la police nationale", a ainsi dit à Reuters Christophe Rouget, porte-parole du SCSI-CFDT.
La crise des "Gilets jaunes" et ses derniers rebondissements violents exacerbent le malaise de policiers divisés sur les suites à donner aux émeutes de samedi - état d'urgence ou non - mais exprimant souvent un même "ras-le-bol".
Selon le secrétaire général d'Alternative Police, Denis
Jacob, beaucoup de policiers ne sont pas assez formés au maintien de l'ordre, sous-équipés et au bord de l'épuisement. Ils souhaitent "une reconnaissance par l'Etat de leur mobilisation sous la forme d'une prime et d'un repos exceptionnel", a-t-il expliqué à Reuters.
PARIS, 3 décembre (Reuters) - Les syndicats représentatifs de la police nationale ont demandé lundi un rendez-vous au chef de l'Etat, Emmanuel Macron, après les émeutes de samedi à Paris et dans le reste de la France en marge du mouvement des "Gilets
jaunes".
Les quatre confédérations (FO, Unsa, CFDT, CFE-CGC) et leurs fédérations, telles Alliance, Unsa Police ou Alternative Police, veulent notamment discuter de la gestion du maintien de l'ordre.
"Suite aux débordements et aux violences commises sur
l'ensemble de la France et nos collègues étant particulièrement mis à contribution, nous demandons à être reçus par le président de la République avec l'ensemble des syndicats de la police nationale", a ainsi dit à Reuters Christophe Rouget, porte-parole du SCSI-CFDT.
La crise des "Gilets jaunes" et ses derniers rebondissements violents exacerbent le malaise de policiers divisés sur les suites à donner aux émeutes de samedi - état d'urgence ou non - mais exprimant souvent un même "ras-le-bol".
Selon le secrétaire général d'Alternative Police, Denis
Jacob, beaucoup de policiers ne sont pas assez formés au maintien de l'ordre, sous-équipés et au bord de l'épuisement. Ils souhaitent "une reconnaissance par l'Etat de leur mobilisation sous la forme d'une prime et d'un repos exceptionnel", a-t-il expliqué à Reuters.
Les syndicats policiers demandent un rendez-vous à Macron ministère de la santé | |
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News & Politics | Upload TimePublished on 3 Dec 2018 |
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